Le visiteur trouvera à cette rubrique les œuvres de Roberto Ollivero dans le cadre d’expositions que ce soit à la galerie avec laquelle il travaille ou dans d’autres lieux ou galeries.

Il s’agit d’une sélection d’expositions. On trouvera la liste complète de celles-ci à la rubrique présentation.

La sélection des expositions s’articule autour de trois éléments : rapports des œuvres entre elles, liens avec les lieux, présence d’œuvres non reprises à l’inventaire.

1989

Un panorama du travail d’Ollivero depuis 1986. Une sculpture qui revendique la narration. Celle des graffiti, des événements du monde, des amours et des histoires d’artistes qu’il restitue en images fortes, dans des matériaux où seule l’apparence compte. Tout doit être faux pur nous rappeler quelques vérités essentielles (Communiqué).

1993

Ollivero, sculpteur d’images fortes et d’histoires quotidiennes réintroduit la narration dans un art qui l’avait abandonnée depuis longtemps. A coup de tronçonneuse dans de la mousse synthétique, de polyester polychrome et de vernis de carrosserie, il crée des sculptures-séquences (…) et réagit, en trois dimensions, aux tragédies du monde : Boat people et Skinheads, retour d’intégrismes et pouvoirs qui se bousculent (Communiqué).

1993

Quelques mois après l’exposition au Centre Belge de la Bande dessinée, Ollivero montre un même choix d’œuvres ainsi que la sculpture monumentale crée en 1988 et implantée sur la place centrale de Saint-Louis (France) et dans l’hôtel de Ville. De cette œuvre, on découvrira ici plusieurs détails ainsi qu’un portrait d’Ollivero face à une de ses œuvres intitulée Fêlé du bocal.

1994

Un an après son exposition au Centre belge de la Bande dessinée, Roberto Ollivero présente en galerie, les différents aspects de son travail actuel : des sculptures où il réagit aux temps de la vie et aux événements du monde, des portraits de famille ainsi que des empreintes en polyester : du dessin gravé de ses œuvres en trois dimensions (Communiqué).

1996

Deux ans après sa dernière exposition, Roberto Ollivero montre ses œuvres les plus récentes. Au mur, un ensemble de peintures, acrylique noir sur papier de moyen et grand format. Au centre de l’espace de la Galerie, les sculptures polychromes. Au mur les esquisses de sculptures à venir ou déjà réalisées, études en leurs diverses variantes. Dans l’espace, les œuvres telles que projetées initialement (Communiqué).

1996

Sept galeries Saint-gilloises quittent leur lieu habituel pour s’associer en un projet collectif : Contretype, Galerie Coppens, Galerie Debras-Bical, Galerie La Papeterie, Galerie Pascal Polar, Galerie Michel Vokaer, La Salon d’art. Avec, notamment, des œuvres de Pascal Bernier, Dirk Braekman, Jean-René Hissard, Barbara et Michael Leisgen, Roberto Ollivero, Liliane Vertessen, Jan Voss, etc.

1999

En vue de son exposition en septembre de la même année à Cincinnati (USA), Roberto Ollivero a réalisé un ensemble de vingt-neuf sculptures murales qui sont autant de regards de l’artiste sur les Etats-Unis.

Ollivero est parti des stéréotypes que l’imagerie américaines colporte à travers le monde (drapeau et oncle Sam, dollar et bible notamment) en les confrontant aux tensions et contradictions vécues aux Ets—Unis : affrontement raciaux, sexualité et puritanisme, domination et exclusion des minorités, etc. (Communiqué).

2004

Exposition du 30 octobre au 5 décembre à la Galerie de Zwarte Panter avec Frank Maieu et André Stas. Sous le titre A prendre ou à laisser, Roberto Ollivero y présente des sculptures en polyester polychrome : œuvres de grands formats ainsi que les hauts-reliefs de la série américaine, des empreintes et des peinture.

2006

Réouverture de la Galerie La Papeterie sous un nouveau label : « Sans Titre – 100 Titres ». La réouverture a lieu le vendredi 21 avril (année) à l’occasion du vernissage de l’exposition des Trois Mousquetaires (Frank Maieu, Roberto Ollivero et André Stas), trois artistes avec lesquels la Galerie a réalisé des livres au cours des années précédentes. Roberto Ollivero y montre des bronzes, des peintures (à base de polyester) sur papier marouflé sur toile et des sculptures en fibre de verre et résine polyester.

2007

A la Galerie De Zwarte Panter, Roberto Ollivero présente des sculptures en polyester, sa série de cœurs (on y découvrira aussi des cœurs en néons ainsi que deux dessins préparatoires aux sculptures), sa série de grands bronzes issues de ses dessins, ses dessins et des peintures. Une exposition où sont montrées également des œuvres de Guillaume Dendeau, Frank Maieu et André Stas.

2007

Pendant dix mois (septembre 2006 – juin 2007), Roberto Ollivero a réalisé 37 sculptures murales en polyester polychrome autour des imageries du cœur et de l’amour.

Dans un premier temps, il a dressé un inventaire des expressions : Avoir le cœur léger, Avoir le cœur lourd ou Le cœur gros, L’attrape-cœur, Le joli cœur, etc.).

Ensuite, il a esquissé ses projets de sculptures sous forme de dessins destinés à garder la mémoire de ses idées.

Il a ensuite réalisé les sculptures en se donnant trois contraintes : chaque expression retenue devait prendre la forme d’un cœur (au moins dans sa partie centrale), chaque cœur devait, comme sur les graffiti, être transpercé d’une flèche, le titre devait être intégré à la sculpture. (Communiqué)