Peintures

Outre ses sculptures qui constituent la part essentielle de son œuvre, Roberto Ollivero a réalisé nombre d’œuvres en deux dimensions : empreintes, peintures et dessins. Si, dans les deux premières, il a, le plus souvent, repris des thématiques présentes dans ses sculptures, c’est pour deux raisons. D’une part le sentiment de ne pas avoir épuisé son sujet et, d’autre part, pouvoir jouer, autour d’une même thématique, des deux et trois dimensions. Cette approche est une constante dans l’œuvre de cet artiste depuis la série d’œuvres (sculptures et peintures) qu’il a consacrée à l’Algérie (Carte postale d’une révolution).

Outre les peintures liées à cette oeuvre en plusieurs séquences (à voir à la rubrique “Sculptures politiques”), on peut identifier quatre séries de peintures : les peintures sous verre (1990), les peintures sur toile accompagnées par des circuits lumineux en lieu et place de cadre 1991), les peintures sur papier où il développe deux thématiques en noir et blanc : celle de la Mafia où il reprend, en plusieurs variantes, la sculpture intitulée Cosa Nostra accompagnée de son emblème, la pieuvre et un autre ensemble qui annonce une sculpture réalisée ultérieurement : La classe ouvrière n’ira jamais au paradis et les peintures griffées reprises dans une rubrique spécifique.

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Peintures, Peintures lumineuses